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Recherche : Les femmes ayant avorté sont plus violentes envers les enfants suivants

 2007-03-17

Selon les résultats d'une étude menée aux Etats-Unis et publiés dans la revue médicale Internet Journal of Pediatrics and Neonatalogy, les femmes ayant commis un avortement sont plus violentes envers les enfants nés ensuite.

Les auteurs estiment que ce lien peut être dû à des remords, un deuil mal terminé, le sentiment d'avoir été contrainte à avorter, ou la distanciation du lien maternel lors de l'avortement.

 

PK Coleman, VM Rue, CT Coyle, CD Maxey, "Induced Abortion and Child-Directed Aggression Among Mothers of Maltreated Children," Internet Journal of Pediatrics and Neonatology, 6(2), 2007.
http://www.ispub.com/ostia/index.php?xmlFilePath=journals/ijpn/vol6n2/abortion.xml

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Commentaires :

1.   2007-03-25   ang1fr  



« Comment sauver les vies des bébés à naître face à l'avortement »

Encore récemment, j'ai vu à la télévision un membre du planning familial convaincre une jeune femme que l'avortement était la solution à sa situation. Elle lui a même fait répondre à la question et si vous n'étiez pas venue nous voir que serait-il arrivé ? la réponse fut : « J'aurais eu un enfant. »

Dans ce sujet télévisé, il n'a été question que de :

Pilule abortive,
Avortement

A aucun moment, de placement du bébé à l'adoption ou en placement temporaire, ou encore que l'enfant qu'elle portait était un être vivant.

Face à cet état de fait, et au fait qu'environ 200 000 avortements ont lieu en France par an, je pense qu'il faut analyser la situation pour sauver la vie des bébés à naître.

La loi Veil

Le premier point important à poser me semble être que la légalisation de l'avortement a été réalisée parce que l'avortement existait déjà. En effet, les femmes avortaient à l'étranger dans des conditions sanitaires déplorables. Il semble d'après un témoignage que les médecins ont accueilli la loi avec bienveillance tellement l'état sanitaire de ces femmes arrivant dans leur service était grave. Il est clair que l'état de santé d'une femme voulant avorter doit être assurer même si je suis d'avis que dans la très grande majorité des cas c'est une erreur et un meurtre.

Un médecin témoignait que les femmes qu'ils rencontrent en vu d'un avortement sont conscientes que c'est une transgression et que cela tient du meurtre.

Ces deux points sont intéressants car ils donnent deux axes importants :

La lutte pour sauver la vie de bébés à naître ne doit pas viser l'abolition de la loi Veil, mais sa modification tout au plus. L'abolition de la loi n'arrêterait pas les avortements, et le but est qu'il y aient le moins d'avortements possibles. Pour cela deux types d'actions sont à déterminer :

les actions en amont de l'avortement
Les actions pour apporter des solutions alternatives à l'avortement. En effet, si les femmes sont conscientes que ce qu'elles font sont une transgression et un meurtre et si nous leur apportions d'autres solutions (ou simplement leur proposer les solutions qui existent déjà), on peut penser qu'elles les accepteraient.

Informer, Éduquer

La santé de la mère est-elle assurée en cas d'avortement ?

Physiquement je l'espère, mais combien de femmes ayant avortées souffrent moralement durant des années voir toute leur vie et doivent être accompagnée ?
Combien en voyant des enfants, et plus tard des adultes se disent chaque jour : il ou elle aurait eu(e) cet âge ...C'est le cas aussi pour les membres de la famille (le père, les parents ...) ayant poussés la mère à l'avortement. J'ai lu un témoignage d'une femme étant allé jusqu'à la tentative de suicide.

La santé psychique de la mère est un point dont on entend quasiment jamais parler, c'est un manquement grave car cela fait partie intégrante de sa santé et est causé par l'avortement. Les couples et familles se présentant pour des avortements devraient être systématiquement informés de ces risques.

L'éducation des futures générations dans le respect de la vie du couple. Les garçons doivent apprendre le respect des filles et le respect d'eux-même. Ils doivent apprendre que le sexe engage pour toute une vie, précisément parce que le sexe peut toujours déboucher sur une grossesse, il n'y a aucun moyen de contraception qui soit efficace à 100%.

Ils doivent apprendre aussi que pour une fille, le désir de sexe a toujours quelque chose à voir avec le désir d'enfant et que c'est bien ça le problème et que c'est cela que ne cesse de répéter l'église catholique sur tous les tons : on ne peut jamais séparer totalement le sexe et le « chant de la création ».

Il est aussi dans l'éducation des filles et des garçons, pour leur dire que l'expérience en matière de sexe, cela ne se thésaurise pas en vue du moment où l'on aura enfin rencontré le bon ou la bonne. Au contraire, cela produit la souffrance et cette souffrance de l'échec du ou des couples précédents polluera toutes les relations futures.

Montrer qu'à deux semaines le coeur d'un embryon bat que c'est donc un être vivant et non pas un amas de cellule, montrer des photos d'embryon de la conception jusqu'à l'âge légale d'avortement.

Il faut expliquer qu'un enfant trisomique peut très bien vivre. Des cas d'avortements de bébés trisomiques à 7 mois ont été signalés par un colistier. Cela correspond à de l'euthanasie, le bébé étant viable.

Changer les mentalités : faire que mettre en placement temporaire ou en adoption un enfant ne soit pas une honte mais qu'au regard de tous, cela soit un geste de courage, car les parents ont choisi la vie.

Redonner sa valeur à la vie, toute vie.

Aider la mère à vivre sa maternité

Dans un forum, j'ai vu cette idée : « Tuer par Amour ». Je tue le bébé à naître pour le futur confort des enfants déjà nés ... C'est par Amour pour eux que je fais cela.

Tuer et Amour sont deux mots complètement incompatibles que l'on ne peut rapprocher. Tuer est la destruction définitive de la possibilité d'aimer. Ma mère dit souvent, j'ai quatre enfants je les aime tous autant. Il y en aurait eu un cinquième mon amour aurait été plus grand. L'amour n'a pas de limite, il peut s'accroître à volonté.

J'ai discuté avec ma mère de cette expression. Ma mère m'a répondu l'amour c'est accueillir l'enfant à naître. C'est aussi partager.
Elle a utilisé l'image suivante : « Je n'ai pas sacrifié deux de mes enfants pour pouvoir offrir aux deux premiers des crêpes sucrées aux bords de la plage. J'ai ramené mes quatre enfants à la maison et j'ai fait des crêpes sucrées ».

L'Amour est dans le fait de donner la vie. Si elles veulent faire preuve d'amour, c'est donner la vie qu'elle doivent faire. Après puisque les conditions extrêmement difficiles qu'elles rencontrent ne leur permettent pas de faire face à cette naissance, la poursuite de cet acte d'amour est l'adoption de l'enfant, ou le placement temporaire dans une famille d'accueil et enfin, l'accueillir une deuxième fois quand les choses vont mieux.

De plus, un colistier témoigne : « La culpabilité vient en fait de l'ambivalence entre le désir de vivre sa maternité et l'impossibilité de le faire ». Nous pouvons en tirer la conclusion que nous devons aider la mère à vivre sa maternité.

Les actions à mener :

Promotions de l'adoption et du placement temporaire
Obligation de présenter ces solutions quand l'avortement est proposé.

Véritable volonté politique face au travail :
Politique qui permettent aux femmes de ne plus avoir à choisir entre carrière professionnelle et vie en famille donc développement des modes de gardes, égalité salariale, salaire parental qui pourrait pour les couples se répartir sur les deux membres et compléter une perte de salaire consécutive à un passage à temps partiel.

Politique de prévention; augmenter le nombre de lieux de prise en charge mère / bébé.
Aide aux mères pour faire face à la naissance d'un enfant.
Modification de la loi Veil pour privilégier l'adoption, le placement temporaire.

Enfin, j'ai eu plusieurs témoignages parlant d'avortements qui pourraient être appelés « de confort ». Les cas cités étaient :

l'avortement est un moyen de contraception et il est entièrement remboursé, de plus la pilule fait grossir ...
Je ne veux pas avoir le ventre rond sur la plage cet été ...

Pour lutter contre ce type d'avortement, je pense qu'une modification de la loi pour que l'IVG ne soit plus intégralement remboursé sauf en cas de motif « thérapeutique » semble nécessaire.

Si la mère a choisi d'avorter que faire ?

Accueillir les femmes blessées ( voir les familles) par l'avortement les aider , les écouter, et soulager les souffrances avec compassion.

Enfin mettre en oeuvre toutes les idées précédentes pour qu'elles soient les moins nombreuses possibles à faire ce choix.

Ce texte a pour but de regrouper des idées permettant de sauver la vie de bébés à naître, espérant que ces idées seront reprises par beaucoup et ainsi diffusées de proche en proche.

2.   2007-04-17   marilyn  

Douze ans après, je souffre encore d'avoir avorté. Je rêve la nuit que ma grossesse continue. Je revoie mon ventre gonflé, et je sens sa présence. Lorsque je vois des mamans avec leurs enfants, je me sens comme elles sauf que je n'ai pas l'enfant. Je souris à leur bonheur et je me réfugie dans l'oubli.
Je souffre que ma grossesse n'ait pas été officielle, je souffre que cet enfant n'ait pas été enterrré, je souffre que l'on ne m'ait pas informée que peut être je ne m'en remettrai jamais.

3.   2007-04-18   ang1fr  

Bonjour,

Je vous conseille de rentrer en contact avec l'organisme : "Les mères de miséricordes".

http://www.mere-de-misericorde-france.org/spip.php?rubrique26

L'appel est anonyme et gratuit. Elles écoutent, aident, conseillent avec compassion.

Meilleurs Salutations.

4.   2007-06-05   bombadilom  

Bonjour, tout d'abord un peu de présentation. Je suis un homme, père de deux enfants et ce que je lis là me ... perturbe quelque peu. Car que dire de la souffrance des mères qui ont abandonné leur enfant et qui ne s'en remettront jamais. Que dire de ces enfants qui en veulent à leur parent de les avoir abandonné.
Je suis d'accord l'avortement ne doit pas être considéré comme une moyen de contraception, c'est un acte qui ne doit être accompli qu'en dernier recours.
Plutot que de blamer les femmes qui avortent ou faire le procès des plannings familiaux qui font ce qu'ils peuvent avec leur peu de moyen, pourquoi ne pas plutot militer pour de vrais cours d'éducation sexuelle ou il serait question de respect de l'autre et de prévention. A tout hasard je rappel que si aucun moyen de contraception n'est fiable à 100% le préservatif bien utilisé limite les risques à plus de 99%. Mais pour savoir l'utiliser encore faut il avoir appris :)
Je sens que vous allez répondre que l'abstinence est le seul moyen de ne pas prendre de risque. Mais vous savez aussi bien que moi que la chair est faible.
Quand à l'exemple du trisomique qui peut très bien vivre, oui effectivement il est viable, oui il peut être heureux. Mais quid des parents, des frères et soeurs qui eux verront leur vie chamboulé. Et si eux ne supportent pas cette différence, qu'en sera t-il de ce petit trisomique qui se retrouvera devant une porte d'église ??
D'accord mon propos est brutal mais néanmoins il me semble qu'il reflète une réalité.

5.   2007-06-10   JEN  

J'ai eu recours à l'avortement lorsque j'avais moins de 20ans,c'était la décision que ma famile avait prisse pour moi et je n'avait rien dit.Pourtant j'aurais voulu le gardé,mon copain de voulait que je le garde, mais j'étais perdue et j'avais peur car j'étais alors au lycée sans diplome. Et aujourd'hui je regrette énormément.
Voilà aujourd'hui j'ai encore recours à l'avortement mais je suis consciente de ne pas pouvoir le gardé car il n'est pas désiré et que le pére ne méritte pas de l'étre comme d'étre avec moi d'ailleurs. Pour info il boit énormément, il est violent, il m'accuse de vouloir le "pigeonner" et de ne pas étre le pére.
Ayant grandit sans lamour d'un pére et subit les moqueries des autre à mon sujets je ne veux pas qu mon enfant vive la même souffrance.
De plus son comportement à changé et il m'as dit clairement que si je le gardé que je devait me débrouiller et surtout qu'il me quittait aprés s'étre assurer que j'avait bien recours a une IVG.
Tant mieux mais je culpabilise énormément d'avoir recours à l'avortement une seconde fois.Car je pense à ses femmes stérilles et j'ai peur que lorsque je désirerais un enfant avec un homme qui le souhaite et surtout qui soit présent et responsable et aimant.
SVP SVP SVP SVP répondez moi et aidez moi a aller de l'avant.

6.   2007-06-15   eds  

bonjour, un avortement est une etape tjrs difficile mais avec le temps une partie s'éfface, une note de nostalgie ressurgie de temps en temps mais on avance avec nos propres enfants

7.   2007-07-01   ang1fr  

Désolé pour le retard mais je n'avais pas vu vos messages.

Pour bambadilom
Je n'ai rien contre la contraception, je suis pour l'éducation en plus de ce que je propose.
Pour ce qui est de l'adoption c'est un acte d'amour de la mère qui préfère donner la vie à son enfant plutot que de le tuer.
Votre argument sur la douleur de la mère et de l'enfant adopté sont non valables pour moi car unemère ayant avorté souffre à 86% de douleurs psychologiques aprés et parfois toute sa vie.
Pour l'enfant, il est vrai qu la plupart du temps ils recherchent leurs origines mais sont aussi heureux de vivre, les autres n'ont pas cette chance.

Pour Jen
Il existe deux asociations qui acceuillent les femmes enceintes en difficultés

Les mères de miséricores
http://www.mere-de-misericorde-france.org/
SOS bébé
http://www.sosbebe.org/

Elles vous aideront et ont aussi des centres si nécessaires.

8.   2007-07-02   ang1fr  

Pour JEN

Voici l'adresse d'un forum où tu pourra discuter et demander conseil :

http://www.aufeminin.com/forum/show1_matern8_1/grossesse/grossesse-ivg.html

Bon courage

9.   2007-09-15   Libellule234  

Je tiens seulement à dire que je suis profondément choquée et outrée, en tant que femme et féministe, d'une phrase écrite dans le premier commentaire, écrit par ang1fr. Cette personne a écrit à un certain endroit : '' Ils doivent apprendre aussi que pour une fille, le désir de sexe a toujours quelque chose à voir avec le désir d'enfant (...)''.

Non, non et non! Ce n'est pas vrai, et c'est horrible de lire encore ce genre de choses dégradantes et étroites. Que faites-vous des femmes, plus nombreuses qu'il n'y paraît, qui ne veulent pas avoir d'enfants, tout simplement? Alors, c'est quoi la sexualité, pour elles?

Je trouve ça carrément dégoûtant et dégradant pour les femmes d'écrire ce genre de choses. Il se peut que vous n'avez pas pensez à ce que cette phrase impliquait réellement, mais je trouve déplorable ce genre de phrase. En fait, à la lecture d'autres commentaires, je pense que vous pensez réellement ce que vous écrivez (bien que je ne puisse parler pour vous) et certains de vos propos sont non seulement aberrants et inquiétants, mais profondément choquants.

Qu'une femme désire ou non avoir des enfants (car, rappelons-le, l'instinct maternel N'EXISTE PAS et ce n'est pas toutes les femmes qui veulent des enfants), non, la sexualité et la libido ne veulent pas dire toujours ''Je veux un enfant, je veux créer un être avec toi''. Parfois, ce l'est, mais la plupart du temps, pour les femmes, je crois que la sexualité, quand elle est saine et épanouie, c'est l'envie du plaisir avec son conjoint, l'envie d'accéder à une intimité toute particulière avec lui. Ou même, la simple envie du plaisir sexuel pour ce qu'il est, comme on le voit parfois dans les histoires d'un soir.

Excusez-moi d'être sorti du sujet, mais il fallait, en mon âme et conscience, que je le dise. Concernant le sujet en soi, je dirais que l'avortement est quelque chose de très dur, et que l'entourage (y compris l'homme qui a participé à cet état de fait) se doit de faire preuve de compréhension, de délicatesse et de respect du choix de la femme dans cette situation. Je suis personnellement pour le droit à l’avortement (on pourrait dire pro-choix, car je suis pour le choix qui est donné et non pour l’avortement en tant que tel, c’est le droit que je revendique pour toutes les femmes), bien que je pense qu’une bonne éducation sexuelle est nécessaire (éviter ces questions ou prôner l’abstinence aux adolescents ou à des jeunes adultes est plutôt ridicule et déconnecté de la réalité), bien qu’il ne faille pas tenter de culpabiliser les femmes comme certains cherchent à le faire (n’oublions pas que la contraception n’est pas sûre à 100%, il y a toujours un risque). Une relation sexuelle se vit à deux, et il faut tenir compte non seulement de l’attitude du partenaire, mais également du contexte entourant chaque situation.

10.   2008-01-09   ludivine  

pierlie tu peux me contacter pr témoigner.

11.   2008-02-13   cle  

je suis très choquée par par le premier texte que je viens de lire, selon son auteur le désir sexuel est donc forcement en lien avec un désir d'enfant. Je ne suis pas d'accord, contrairement aux idées prônées par l'Eglise (qui ne jure que par l'expiation des péchés et donc la souffrance)la sexualité est résolument un acte de PLAISIR. La maternité n'a rien a voir . De plus, je n' arrive pas a comprendre comment vous pouvez concevoir de faire porter a une femme un enfant qu'elle ne veut ou ne peut pas assumer psychologiquement pour ensuite après 9 mois l'abandonner. est ce que vous saisissez le non sens de votre propos? De plus , d'un point de vue purement biologique, une cellule œuf n'est pas la même chose qu'un embryon et qui n'est pas lui même la même chose qu'un fœtus. Un enfant n'est pas un fœtus , l'avortement n'est pas un meurtre car pour mourir il faut être né.

12.   2008-03-06   lilou  

nous sommes le 06_03_2008.je suis tombé enceinte il y a 6semaines.quant je les apris j'ai été la femme la plus heueuse du monde mais je suis retombé de mon petit nuage.mon amis a 21ans comme moi et je vous dis sa avec ces mots il est vrément dégouté...il ma demandé d'avorté et par amour je lui est dis oui.mé dans ma téte et dans mon coeur je suis telement malheureuse.je ne suis pas préte du tout.je dois avorté dans moins d'une semaine et je ne sais pas quoi faire.je ne peut pas lui imposer un enfant mais il ne comprend pas que lui ne peut pas m'imposer de tué mon bébé.j'ai réelement besoin d'aide mé je sais que je ne peut pas me confié a mon entourage.aidé moi svp.

13.   2008-09-26   louana163  

pour lilou,
je suis enceinte de 6 mois et comme toi mon compagnon avec qui je suis depuis quattres années m'a demandé d'avorter, j'ai vécu les 4 premiers mois de ma grossesse dans l'enfer. je suis contre l'avortement mais je me suis posées milles questions puisqu'il me menacait de me quitter, j'ai déja deux adorables enfants je sais donc ce qu'est d'être mère. Je pense que chacun a le droit a son choix sans jugement, mais je sais également une chose c'est que l'on avorte pas par amour, je ne sais pas ce que tu as pris comme décision, mais notre conscience est la et il faut pouvoir vivre avec. Mon homme est toujours la auprès de moi, nous avons perdu notre papa respectif tout les deux en un mois de temps, et tout a coup son instinct parternel lui est apparu ce qui n'effacera jamais les paroles qu'il a pu me dire. il veut l'enfant,le voir,s'occuper de lui mais refuse de le mettre a son nom et refuse de vivre avec nous car il aime sa vie tranquille sans bruit et sans histoire. je ne sais plus quoi faire, car j'aime cet homme mais je refuse complètement qu'il soit la juste pour les bons moments et prenne la poudre d'escampette pour les mauvais moment. 6 mois de grossesse et 6 mois ou je suis malheureuse, la vie n'est pas rose mais je suis persuadée que je trouverais la solution dans mon ame et mon coeur et que cela sera bien ma décision car personne n'a le droit de vouloir diriger la vie de quelqu'un d'autre, je ne peux pas l'obliger a le reconnaitre mais je ne suis pas non plus a sa disposition et a ses envies. il me perdra moi et le bébé. un enfant a le droit a sa chance.

14.   2009-05-31   CHABI chabi   (http://www.transvie.com/pub.php?&mol=2)

slt à tous. je vai vous raconter mon histoire tant que ça aide qui ca peut aider.
j'ai été élévée dans une famille chrétienne et aimante. je suis moi même catholique et jusqu'ici, je me suis toujours éfforcée d'appliquer à la lettre les principes réligieux. à 18ans, j'ai rencontré mon prince charmant. c'était dans l'église que je fréquentais habituellement. ca n'était pas du tout le coup de foudre, on avait plus un rapport d'amitié qu'autre chose. étant croyant comme moi, on a décidé de se marrier 2ans plus tard sans avoir eu de relations sexuelles au préalable. j'étais donc vierge ce jour là. pendant notre mariage, des liens très fort se sont créés entre nous et c'est à ce moment là que j'ai appris ce que c'est l'amour vrai. 7ans après notre mariage, on était parents de 3 adorables garçons dont des jumeaux. malheuresement, on était également très pauvre.la vie était une lutte quotidienne pour pouvoir manger et envoyer nos enfants à l'école.malgré tout, on désirait ardemment avoir une fille. on avait prévu cette naissance pour 3ans environ. le temps nécessaire pour que notre situation financière s'améliore. bien que je prenais normalement ma pillule, quelle n'a pas été ma surprise de découvrir un beau matin que j'étais enceinte. je le voulais cet enfant, plus que tout au monde, malgré notre pauvreté. on en a parlé mon mari et moi et on a en convenu que la situation était telle que nous ne pouvions garder cet enfant. j'ai pleuré toutes les larmes de mon corps. à 2mois de grossese, je me suis rendue compte que je pouvais pas le faire. alors, j'ai gardé mon enfant jusqu'à ce qu'elle naisse. c'était la plus belle pétite fille du monde. après sa naissance, j'ai eu mon lot d'angoisse. on avait décidemment pas assez de moyens pour 4 enfants, résigné, dégouté, on a été obligé de la placer dans daus un orphelinat. 1mois après, un couple sans enfant l'adopta. puis, 4ans passa, et notre situation financière s'améliora enfin avec notamment le grade que réussit à obtenir mon mari. d'un commun accord, nous décidâmes d'avoir un autre enfant. manque de chance, ce fut un garçon. 2ans après sa naissance, nous eûmes encore un autre enfant. ce fut encore un garçon. on décida donc d'arrèter. j'étais persuadé que le seigneur me punissait d'avoir abandonné ma fille. alors, j'ai décidé de la retrouver, pour lui dire que je l'aime. j'ai engagé un détective privé, et il réussit avec beaucoup de peines à la retrouver.cà lui prit 3ans. j'ai eu à parler à ces enfants adoptifs avant de la rencontrer, au début, ils voulaient pas que je m'approche d'elle. mais ils ont fini par comprendre ma douleur. mon mari et moi, on s'est donc rapproché d'elle. on a attendu ces 15ans pour lui avouer la vérité. elle nous a jetè en pleine figure qu'elle nous détestait et qu'elle ne voulait plus jamais nous voir. j'ai eu l'impression que mon coeur se brisait.il nous a fallu des mois pour qu'elle accepte afin de nous pardonner. ce jour là, on était dans un restaurant, et elle nous a dit (je l'oublierai jamais) : "j'ai lu quelque part, qu'une femme ayant avorté passe le reste de sa vie a regretté . quand j'ai lu ca, j'ai pensé à tout ces embryons dont les femmes se débarassent. j'ai eu mal pour eux et j'ai pris conscience de la chance que j'ai eu de vivre, de voir le jour se lever, et je me suis rendu compte que ceci était grace à vous. j'ai été ingrate envers vous mais je me rends compte que j'aurai pas du. je ne vous remercierai jamais assez de m'avoir donné la vie. je vous aime et je vous aimerai toujours." mon dieu, l'émotion que j'ai éporouvé ce jour là; surtout que c'était son anniversaire. aujourd'hui, ma pétite fille a 20ans, et on est très proche. elle ne se pose plus de questions. elle a 2 pères et 2 mères et elle nous aime tous. ca me suffit amplement.
voilà, c'est juste mon témoignage. si ça peut aider quelqu'un, c'est tant mieux. je ne pourrai jamais condamner les femmes qui ont recours à l'avortement, mais je me dit qu'il est mieux de les placer, ces pétits êtres là dans un orphelinat.

15.   2011-03-06   Fintan  

Pourquoi qu' à chaque fois qu'on parle contre l'avortement on dit qu'on s'attaque à la femme ce qui est faux! On s'attaque à l'avortement! Quand on parle de vol, de viol ou de pédophilie on ne s'attaquent pas à ces personnes et je n'ai jamais vu in voleur ou un violeur venir se plaindre qu'on l'attaque pour son geste criminel.Ceux qui croient que l'enfant n'est qu'un enfant dès qu'il est né est complètement absurde! on voit comment c'est difficile de faire résonner le cerveaux des pro-morts.C'Est parce que c'est mal qu'il ne veulent pas qu'on en parle alors c'Est la preuve qu"au fond de leurs âmes ils savent qu'ils tuent un être vivant.
L'embryon ressent de la douleur à partir de la 8e semaines. Ne devrait-on pas faire comme avec la peine de mort pour les meurtriers,l'interdire? Pourquoi refuser l"adoption? Comme le disait Dominique Michel dans sa chanson; Y a toujours moyen de moyenner!


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